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 Kyrielle L. Fürst-Rozen [ÉTAT ]

Kyrielle L. Fürst-Rozen
Kyrielle L. Fürst-Rozen

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Date d'inscription : 10/01/2014
Messages : 20
ID card : Ditehas Lucius, Juge au Conseil ☸ Vingt-six ans ☸ Sidheim.


Kyrielle L. Fürst-Rozen [ÉTAT ] 69uU0ZA

Sujet: Kyrielle L. Fürst-Rozen [ÉTAT ]
Ven 10 Jan - 6:35


   

    TSUTSU&COMPAGNIE ; [INSÉREZ UNE INSULTE FLEURIE POUR UNE GROSEILLE POURRIE]. Bonjour je m'appelle Tsutsu — et on dit tous "bonjour Tsuuustsuuuuu" —  et je suis une chouette-poulpe-fraise-chaussurovore rose.  Voilà. Ah si, parfois je met une cape — rose of course — et je deviens tsuperman. PS: Méfiez-vous du Tsotso qui dort. PS²: On attrape pas des Tsutsu avec des chaussures bon marché.   PS³: Au pays des aveugles, le borgne est borgne. Mais chuut, c'est pas moi qui vous l'ai dit.  
   

   
Kyrielle Lucius Fürst-Rozen;;

    — Dies iræ, dies illa, solvet sæclum in favílla

   

   

   

  Nom & prénoms ; Kyrielle Lucius Fürst-Rozen dite « l’Incorruptible ». Comme vous l'aurez compris de par sa froide prestance, son nom porte les stigmates d'une prestigieuse généalogie.     Âge; Vingt-six ans à vouloir être l'homme qu'elle n'est pas.   Profession;Ici la justice est borgne mais intraitable.  La juge qu'elle est devenue est une main de fer sans gant de velours. Résidence;Sidheim, capitale des capitales, berceau de l'Harmonie et de l'Ordre.   Ordre;  L'or est son insolence et son droit. Information(s) complémentaire(s); Lors de son seizième anniversaire, son père lui a offert une lame baptisée Heimdall et spécialement forgée pour l'occasion. C'est une claymore —large épée à lame relativement courte — au pommeau d'or, surmonté du blason familial des Fürst-Rozen: un chromex d'émeraude. C'est une arme d'apparat qui n'a jamais fait couler le sang; elle la porte lors de ses procès et autres événements officiels.
 
   
feat. NAGISA 『ナギサ』 — Phantasy Star Portable II.


 

   Juste Judex ultiónis
  — TU SERAS JUSTE EN CONDAMNANT
Toi, qui a vu le jour dans le sang et la douleur, qui a volé une vie aimée en échange de la tienne, tu auras la force de cent hommes et la sagesse unique au bout de ton glaive.   Tu seras le feu, la foudre et la tempête.  Digne de mon nom et tous ceux qui nous ont précédés, tu te tiendras debout quand le ciel se brisera en mille éclats de voix. Sourd aux suppliques de ceux qui n’ont que trop peu d’honneur,  tu te dresseras et, s’il le faut, tomberas même au combat, toi, l’impétueux soldat, divin esclave du Beau et du Juste. Tu seras mon titre, tu seras mon sang sur cette terre et dans l’au-delà, quand mon temps aura touché à sa fin.  Tu ne connaîtras ni la peur, ni ses dangers.  Tu porteras le titre de héros au nom immaculé. Tombé sept fois, relevé huit, toi le colosse d’or, tu symboliseras la fierté de toute une existence.  Tes ennemis trembleront à ta simple évocation et fuiront en voyant se profiler à l’horizon l’acre couleur de ta chevelure, semblable à l’oiseau funeste.  Craint comme la peste et adoré comme un dieu, tu seras le chevalier au service du royaume, le bouclier du monde des hommes, le dernier rempart à l’ignorance. Armé comme un guerrier de la Mesure, tu aimeras sans folie et seras haï sans rancœur.   Faisant abstraction du mensonge et de la  tromperie, tu conseilleras les rois et effleureras les sphères les plus nobles, acquérant  à la sueur de ton front, ta place parmi les constellations.  Nos ancestrales  armoiries seront ton étendard, et ta superbe, ton droit. Pour toi, hériter aux veines bleues,  la morale sera ton guide sur les chemins du pouvoir.  Alors la Fortune, les Dieux, la Chance et la Victoire te seront à tout jamais soumis. Pour ce jour et le reste de ta vie.  

Tu seras un homme, ma fille.

Père n’a jamais eu autant de fierté dans son regard que ce jour-là.  J‘ai toujours pensé qu’il ne m’avait  jamais aimé. Mais le jour où l’enfant que j’étais  a été choisie pour incarner la relève, quelque chose a changé dans ses yeux. Dans ses deux monstrueux précipices, aussi noirs que le jais.  Il ne m’avait jamais regardé avec cette expression auparavant. Je crois bien qu’avant cela il n’y avait que haine, peine et souffrance.  Mon visage ne lui rappelait que trop celui de Mère. Mère qui  me paraissait toujours  si douce sur ses portraits. Si bienveillante.  Je regrette d’avoir  commis le péché de naître.  En prenant les armes, aussi jeune que j’étais, je croyais pouvoir effacer le sang  par le sang.  Je comprends aujourd’hui qu’il ne s’agissait que d’une pure folie.   On ne peut qu’endurer sans jamais expier.  C’est le fardeau de l’Homme qui nait et meurt seul.

La cour d’entrainement est complètement déserte, seule, dans le crépuscule grandissant, la silhouette d’une enfant qui n’a même pas encore dix ans.  Ses mains sont ensanglantées et son corps  entièrement contusionné. L’épée qu’elle tient fait sans doute la moitié de son poids et pourtant elle se tient droite et frappe sans peur un énième ennemi invisible.  Dans sa force inouïe, il y a toute la rage d’un être qui ne demande qu’à être reconnu.  Elle se retranche dans ses limites les plus absolues comme par nécessité d’oublier. Il lui faut faire mieux que les autres.  Devenir plus forte. Atteindre la marche de l’invincibilité.  

–«Tu devrais arrêter pour aujourd’hui, ça ne sert à rien de forcer  comme tu le fais. La force du  véritable chevalier ne réside pas dans son épée. »

Un jeune adolescent, aussi blond qu’elle est brune, sort de la pénombre et s’approche de la petite fille à bout de force.  Le souffle court, elle ne dit rien et laisse le sang perler le long du pommeau de son arme.  L’inconnu sort alors de sa poche quelques bandages immaculés et les montrent prudemment à l’enfant comme s’il avait affaire à une bête sauvage et farouche.  

–« Laisse-moi faire, tu veux ? »

Ce soir-là et pour la première fois, les mains recouvertes  de gazes blanches, le monstre a goûté à une douceur méconnue. Celle de la chaleur humaine.  

Unde Mundus judicétur
  — D’APRÈS QUOI LE MONDE SERA JUGÉ  
Il y a dans la noblesse de son allure, l’arrogance des biens nés.  Elle a la duplicité néfaste d’une femme et la rage insensée d’un homme sans racine ni mémoire.  Elle ne craint ni le mal ni le sang qui s’écoule et laisse échapper la vie le long de sa peau immaculée, presque translucide.  Sa détermination et sans faille et dans ses yeux, d’un vert comparable à la peau froide d’un serpent, brille la pénétrante étincelle du guerrier qui ne recule devant rien. Ce n’est qu’une enfant pourtant. Engagée dans une  joute destructrice contre sa nature propre, elle est la victime désignée d’attentes paternelles irréalistes. La plus terrible des créatures qu’il m’ait été donné de voir et de connaitre.  Elle parle peu mais pense bien. Sa langue, ce  couperet acéré, n’a nulle pitié pour le faible et le perdant.  Je lui ai donné l’arme qui fera d’elle le bourreau de toute une société.  Elle n’a rien de chevaleresque, c’est un monstre de fer, un instrument  cruel et apocalyptique  qui n’a jamais appris les sentiments, farouche dans ses colères comme dans ses amours.  Ses pulsions d’anéantissement sont à l’image d’un gouffre sans fin : tout, tout de suite, toujours plus vite, toujours plus fort,  elle voudrait vivre un millier de vies dans une seule. Il lui faut goûter à la modération et à l’absence de tempête.  Mais je vois son déchainement et je crains son courroux. Le ciel sera le premier témoin de son ascension  fulgurante ou de sa descente dans les abysses de la perdition.  Je le vois, je le sens.  

L’horreur est humaine.

La vie, le temps et les gens m’ont acéré.  J’étais devenue une machine  de fer et d’acier, créée pour tuer et faire s’abattre le malheur. Pourtant lui ne m’a jamais jugé. Il ne m’a jamais rejeté.  Il a plongé au cœur de l’âme de ce monstre sanguinaire.  Et il y a vu ce que personne n’avait réussi à percevoir avant lui : des rêves, des espoirs, des attentes, des regrets, des souffrances.  Entre nous, les mots  étaient devenus presque superflus.  Nous, qui étions si différents à première vue et pourtant si semblables au plus profond de nos êtres, nous nous étions promis de combattre les démons qui emplissaient nos cœurs. Côte à côte. Nous, les alliés de la justice, les protecteurs du royaume.  Mais c’est du passé maintenant.  Un songe insensé. L’ombre d’un souvenir amer.

Assis sur de petites marches en pierres, à l’abri de regards trop indiscrets, deux ombres murmurent dans la fraicheur du matin.  Il rompt un biscuit et lui tend la moitié en souriant. Elle accepte sans grande joie.  Dans son regard vert, un orage de tristesse  se déchaine.  Le sourire du jeune homme faiblit et il pose la main sur le crâne d’ébène de son amie.

–« Je t’en prie, fais pas cette tête, Kyrielle.
Mais on ne se verra plus…
Tu devrais être heureuse pour moi, je fais enfin partie des Immaculés. C’est plus qu’un rêve, c’est un honneur de protéger la famille royale.  Et puis…je sais que tu n’auras aucun problème ici. J’ai entendu dire que tu menais la vie dure à ta section d'entrainement. »

Ils se mettent timidement à rire mais très vite la réalité reprend ses droits. C’est presque un adieu. Lourd et douloureux.

–« Tu reviendras me voir, Lucius ?
Tu me rejoindras très vite, je le sais. Et on pourra servir ensemble…à moins que d’ici là, je sois déjà devenu gardien, bien sûr, dans ce cas tu seras sous mes ordres.»

Il lui sourit et ébouriffe ses cheveux.  Elle se débat en riant et tente à son tour d’atteindre sa chevelure blonde, sans succès.

–« Te vantes pas trop ! Je serai la gardienne et tu seras sous MES ordres ! »

Il se lève, la mine radieuse et se place juste devant elle, cachant le soleil de sa haute stature de chevalier.

–« C’est ce qu’on verra ! En attendant, si on profitait de ma dernière journée de liberté ? »

Il lui tend la main. Elle l’attrape sans hésiter.  Demain, il revêtirait son habit blanc.

Cela fait désormais dix ans, jour pour jour, qu’il a juré. Dix ans, depuis sa première journée en tant qu’Immaculé. Dix ans, depuis sa rencontre avec ce destin si cruel. Dix ans, depuis que son sang a entaché les marches du palais. Lucius est mort pour sa patrie mais mort à tout jamais.  



 Ingemísco, tamquam reus
  — VOIS, JE GÉMIS COMME UN COUPABLE  
La bête est tombée. Celle qui a vécu par le feu, a dû payer le prix de ses incendies. L’ennemi provoqué dans l’ultime but de satisfaire un égo trop avide aura eu raison du flamboyant chevalier.  La lame a plongé dans son œil vitreux et accusateur, celui-là même que beaucoup avaient redouté jusqu’alors.  J’ai vu son corps à terre, vibrer frénétiquement sous l’action de funestes soubresauts de douleurs.  Ses cris inhumains ont transpercé le champ de bataille improvisé, implorant la Mort, refusant de vivre après avoir connu le déshonneur de la défaite.  Mais au cruel  rejet de l’ennemi,  le sang a fondu dans les larmes et les terribles années, vécues avec  rage,  se sont évanouies dans un râle d’agonie.  Et le monstre enchainé a capitulé, déposant les armes aux pieds de son existence sacrifiée pour des rêves inaccessibles.  Maintenant qu'elle n'est plus qu'un fantôme sans saveur,  elle porte son voile noir, symbole du deuil de cette féminité perdue, comme la trace d’un dernier souvenir ineffable.

Tout est perdu, même l’honneur.  

J’avais dix-huit ans et je me pensais être invincible. Je pensais que la mort ne m’atteindrait jamais.  Que la souffrance physique n’était rien par rapport à ce vide qui m’avait rongé de l’intérieur.  Alors je l’ai défié, lui le colosse. Celui qu’on avait porté en héros.  Le jeune Cerbère.   À mes yeux, il ne méritait ni son titre ni sa gloire. Pourquoi avait-il survécu à ce jour maudit alors que Lucius l’avait payé de sa vie ? Pourquoi avait-il usurpé le titre de gardien dont il avait tant rêvé ? Pourquoi m’avait-il toujours surpassé ? Pourquoi me sentais-je si humilié ? Je pensais qu’en le renversant, je pourrais enfin rétablir l’ordre,  reprendre définitivement ce qui nous était dû. J’ignorais  alors que dans cet instant de folie j’allais perdre bien plus encore.  Mais finalement,  cette petite mort n’a été que le début d’une renaissance. Pour le meilleur et surtout pour le pire.

Alitée, presque agonisante,  le front cerné de bandages ensanglantés, l’œil mort voilé, elle reste immobile, fixant de sa vue trouble et dépouillée le plafond de sa chambre de convalescence.  Son corps est encore vivant mais son âme, elle,  est déjà morte.   Dans sa mémoire, elle revoit la lame s’abattre sur son visage et la douleur  lui revient,  aussi vive qu’au véritable choc. Le soir, dans son sommeil agité, la soigneuse l’entend appeler, sans répit, le nom de son ennemi. Wolfram. Tu paierais pour cet affront. Wolfram.  Tu mourras pour cet affront.  Le matin du second jour, elle se lève enfin, titubante et mal assurée. Celle qui a gardé sa couche toute la nuit lui attrape le bras in extrémis pour la retenir de tomber.

– « Mademoiselle Kyrielle, vous avez perdu beaucoup de sang, vous devriez vous reposer et ne pas faire d’effort ! »

Elle repousse violemment la femme comme pour lui prouver qu’elle n’a rien perdu de sa force.  Elle serre les poings et siffle entre ses dents.

– « Ne m’appelez pas ainsi. Mon nom est Lucius, c’est celui que j’ai choisi. C’est celui que vous devez utiliser.
Mais où allez-vous comme ça ? Restez couchée, je vous en prie !
Je vais rendre les armes. C’est ce que j’aurai dû faire il y a longtemps. Puis je vais recommencer.
Mais enfin, recommencer quoi ? Vous voyez bien que les traitements vous font perdre la tête !
Taisez-vous !  Je sais ce que je fais ! Et je ferais en sorte de punir tous ceux qui doivent l’être. »

Mais à peine franchit-elle le pas de la porte, qu’elle s’effondre sur le sol.  Toutefois, dans son esprit rien n’a jamais été aussi clair. Son corps peut bien tomber cent fois, sa détermination, elle le sait,  jamais ne vacillera.



culpa rubet vultus meus
— ET LE PÉCHÉ ROUGIT MON FRONT
Son orbe désincarné hante encore mes nuits de solitude.  Enfermé entre quatre murs de misère, son nom résonne  plus terrible encore que la peine rendue.  La réputation qui la précède n’est qu’une douceur amère face à la réalité.  On la dit glaciale, on la dit impassible, on la dit « Incorruptible ». Mais la vérité je la connais. Sa raison ni ne vacille ni ne tangue. Je l’ai vu, plus effrayante encore qu’une divinité rédemptrice, elle se tient à la place du juge suprême.  Sa haute stature est aussi droite que ses principes inflexibles.  Elle tranche d’un geste net, comme guidée dans ses actes par la main invisible de la Loi.  Quand vient l’heure du jugement dernier, elle dissimule cet œil valide et fait  paraitre au grand jour la monstruosité de son visage mutilé. Elle devient alors  la justice aveugle,  détentrice de la balance de l’équité.  Le coup de son marteau d’ivoire retentit et sa voix s’élève, claire et distincte, pour s’abattre comme un fléau sur l’assemblée.  Son air est grave, sa mine sereine.  Ceux qui vont mourir la saluent mais c’est le dédain qui transparait dans son regard vide.  La séance est levée et la vie, suspendue à ses lèvres pâles, reprend son cours.  La sienne est sans doute à l’image de ce tribunal. Sans espoir et oubliée des Dieux.

Priez pour nous, pauvres malfaiteurs.  

Je l’ai condamné car il en était de mon devoir. Il n’y a pas d’autres applications que la loi. Il a trahi la couronne pour laquelle tant ont péris, tant ont sacrifiés.   Il a été l’exemple de mon inflexibilité. Je ne pouvais pas le permettre ni le supporter. Ma faiblesse aurait entaché tout ce travail, tous ces efforts, cette réputation gagnée à la sueur de mon front.  Pour arriver au rang de juge, j’ai exécuté plus de tâches ingrates que tous les autres. Je les ai surpassés en force et en résistance.   Mille fois j’ai prouvé mon honneur, ma loyauté. Je ne pouvais pas le laisser me détruire.  Le lien du sang se devait de disparaitre face au mérite.  Vous avez sali notre nom. Mon Père,  pardonnez-moi de vous avoir condamné, comme je vous ai pardonné de m’avoir offensé.

L’homme fatigué passe un bras à travers les barreaux rouillés  de sa prison et vient caresser doucement le visage de sa visiteuse.

– « Ma fille, ce n’est pas ma faute…j’ai été hypnotisé par…par cette chose. Ils me l’ont promis.
Promis quoi ?
L’éclat…l’éclat d’Azurys. Ils m’ont dit qu’il me le donnerait si je les aidais à trahir le prince.  Je l’ai eu.  Dans cette main. Aussi vrai que cette main qui te touche…
Mais où est-il maintenant ? Père, où est l’éclat ? »

Elle caresse la main du prisonnier, encore posée sur sa joue, mais il secoue violemment la tête avec l’expression d’un animal apeuré.

– « Non, non, tu ne dois pas. Jamais ! Tu entends, ma fille. Jamais, tu ne devras la posséder.  Cette chose c’est le malheur et… »

Il baisse sa voix et expire dans un long murmure presque inaudible :

– « La mort… »

Elle regarde l’homme, qu’elle avait connu si digne, sangloter, comme emporté dans une folie dont on ne revient pas.

–« Pardonne-moi Kyrielle, j’ai échoué….j’ai échoué dans cette vie… »

La main se retire, engloutie dans les ténèbres d’une cellule sans lumière.  Elle sait qu’elle ne reviendra pas, elle n’en n’aura pas la force.  Alors elle s’éloigne sans se retourner et,  il lui semble encore aujourd’hui que le bruit de ses pas s’accompagne des gémissements de celui qu’un jour  elle a osé nommer « Père ».  



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Teras
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Date d'inscription : 08/01/2013
Messages : 129
ID card : Prout



Sujet: Re: Kyrielle L. Fürst-Rozen [ÉTAT ]
Sam 18 Jan - 22:43


Félicitations
Tu as écrit de la merde. C'est tout nul et tu sais pas incarner la borgnitude avec classe /PAN/. Ahem. On aime & puis voilà ** Ton personnage est bien construit, c'est trèèèès bien écrit & on se réjouit d'avoir ce machin-là qui va trainer dans le conseil ♥

Maintenant que tu es validé(e) tu peux aller recenser ton avatar, créer ta fiche de suivi, répondre au décret royal et, si tu en as envie, commencer un RP!
Enjoy!
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 Kyrielle L. Fürst-Rozen [ÉTAT ]

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